Lundi |
Fermé |
|
Mardi |
10h-12h30 15h-18h |
|
Mercredi |
10h-12h30 14h-18h |
|
Jeudi |
15h-18h30 |
|
Vendredi |
15h-18h30 |
|
Samedi |
10h-13h 14h-17h |
|
Dimanche |
Fermé |
Consciente d'être parvenue à un tournant de sa vie, Sarah a trouvé refuge dans une villa de la Belle Epoque, sur les hauteurs d'Arcachon. La maison, à la chaleur de serre, la fascine. Entourée d'un paysage délavé de gris, elle se prend à rêver des passions et des fièvres dont la Ville a été jadis le théâtre. D'où surgit hante le fantôme d'une autre présence féminine. ..
PM-DX2-C303.
Médias
Dominique Bona, née le à Perpignan (Pyrénées-Orientales), est une femme de lettres française. Elle est lauréate du Prix Renaudot en 1998. Elle est membre de l'Académie française au fauteuil 33, depuis le 18 avril 2013.
Issue d'une famille catalane et fille de l'historien et homme politique Arthur Conte (1920-2013), Dominique Bona étudie au lycée Victor-Duruy et est agrégée de lettres modernes (études supérieures à la Sorbonne)[1]. Elle fut assistante à France Culture et à France Inter de 1976 à 1980, journaliste et critique littéraire au Quotidien de Paris de 1980 à 1985, puis au Figaro littéraire de 1985 à 2004 .
Elle reçoit le Prix Renaudot en 1998 pour Le Manuscrit de Port-Ébène, le Prix Méditerranée pour Gala en 1994, le prix Interallié pour Malika en 1992.
Dans ses écrits, la condition féminine occupe une place centrale. Dans une interview, elle déclare:"Comment une femme peut-elle s’exprimer elle-même alors qu’elle est souvent en butte à des difficultés qui ne sont que de l’ordre féminin, c'est-à-dire organiser sa maison, son foyer, sa famille, construire une vie parallèle à celle qui lui est ordinairement dévolue par la société ? »[2]
Dominique Bona est membre du jury du prix Renaudot depuis 1999.
Elle est élue à l'Académie française le 18 avril 2013 au fauteuil de Michel Mohrt en devenant la huitième femme immortelle depuis la création de l'Académie en 1635 face au journaliste Philippe Meyer. Elle devient la benjamine des Immortels[2].
Elle est accueillie le 23 octobre 2014 par Jean-Christophe Rufin qui dans son discours d'investiture déclare «J’appartiens à la génération de celles et ceux qui ont toujours connu la mixité dans cette Académie. Et je suis frappé de constater combien il paraît désormais absolument naturel que les femmes y soient présentes. Il est presque inconcevable d’imaginer qu’on ait pu débattre ici d’une telle question et surtout qu’on y ait si longtemps répondu par la négative. Que de grands écrivains aient pu être si longtemps empêchés de nous rejoindre parce qu’il s’agissait de femmes, semble aujourd’hui incompréhensible... Grâce à chaque nouvelle femme, la Compagnie s’éloigne un peu plus de ces sociétés d’hommes entre eux (armées d’autrefois, monastères ou clubs anglais) pour lesquelles, en ce qui me concerne, je n’ai jamais montré aucune attirance.»[3],[4]
Editeur : Grasset Date de parution : 1998 Description : In-8, 366 pages, broché, occasion, très bon état. Envois quotidiens du mardi au samedi. Les commandes sont adressées sous enveloppes bulles. Photos supplémentaires de l'ouvrage sur simple demande. Réponses aux questions dans les 12h00. Librairie Le Piano-Livre. Merci