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Médias
Claire Renard dite Claire Gallois, née en 1937 à Boulogne-Billancourt, est une femme de lettres française et critique littéraire.
Claire Renard est née à Boulogne-Billancourt le 8 octobre 1937. Elle est la mère du romancier Swann de Guillebon, né en 1972[1],[2].
À neuf ans, Claire Gallois est pensionnaire à l'ensemble scolaire Notre-Dame « Les Oiseaux », établissement d'enseignement privé sous tutelle de la congrégation des Chanoinesses de Saint-Augustin de la Congrégation Notre-Dame situé à Verneuil-sur-Seine. Elle est ensuite lycéenne au lycée Molière à Paris[1],[3],[4].
Claire Gallois est écrivain à partir de 1965 et chroniqueur littéraire dans des magazines Paris Match, Elle, Marie-Claire ainsi que pour le quotidien Le Figaro[1].
Elle est membre depuis 1984 du jury du Prix Femina et depuis 2005 de la Commission nationale consultative des droits de l'homme[1],[5].
En 1997, son éditeur Albin Michel la licencie. Claire Gallois s'inscrit à l'ANPE et publie l'année suivante L'Honneur du chômeur dont elle verse les revenus à l'association Agir ensemble contre le chômage [6],[7].
Dans une chronique publiée dans Le Point fin novembre 2012, Claire Gallois s'attaque aux jeux vidéo, créant d'après elle de la violence et des tueurs, et propose par conséquent la mise en place d'une taxe spécifique[8]. Cette position sur la violence des jeux vidéo est vivement contestée[9].
Claire Gallois est nommée chevalier de l'ordre national de la Légion d'honneur le 1er janvier 1998 et promu officier dans l'ordre national du Mérite en mai 2012[7],[10]. Elle a reçu le prix de la vocation en 1965[1].