Le portrait d'Antoinette, la rainette de Giverny, peint par Monet est un chef-d'oeuvre. Un soir d'été, cette toile disparaît. L'album prolonge le tableau en permettant de parcourir les jardins de Giverny et de voir Claude Monet à l'oeuvre, chapeau sur la tête et pinceau à la main.
Un petit garçon parle de son nounours, son superhéros, grand comme un géant qui peut rugir comme un lion ou rire comme un éléphant. Un album pour dire je t'aime à son père.
Quand une méchante bulle de gros mots s'échappe d'une bouche en colère, il est bien difficile de la rattraper. La voilà qui s'envole de lèvres en lèvres jusqu'au bout du monde. Il suffira pourtant d'un sourire pour arrêter sa course et renvoyer à sa place une belle boule de fleurs qui rendra à chacun sa bonne humeur.
Fenouil est furieux. Il s'est disputé avec Tony, son meilleur ami, et ne veut plus le voir, plus jamais ! Désormais, il jouera avec son lapinou. Lui au moins ne dit jamais non et ne veut pas toujours avoir raison. Mais un lapin de chiffon, ça ne vaut pas un ami en chair et en os...
Pas une brindille, pas une miette à dénicher par cette nuit glacée de décembre... Affamés, les animaux frissonnent dans la lumière d'une étoile qui illumine le ciel. "C'est l'étoile de Bethléem", leur explique la chouette, et elle leur parle de la naissance d'un homme bon et généreux en cette nuit de NoÉel. "Un homme bon ? Ca n'existe pas !" proteste la perdrix...
Fenouil croit bien faire. Son papa a dit qu'aider les autres faisait plaisir au Père NoÉel. Alors le lendemain, il vide le garde-manger et distribue presque toutes leurs provisions d'hiver aux animaux de la forêt : ils avaient si faim, sous la neige... Son geste généreux est bien sûr loin de ravir ses frères et soeurs. Pendant des semaines, les voilà tous obligés de se priver à cause de lui. Et pourtant, le soir de NoÉel, une merveilleuse surprise les attend...
Dans la Rue des Caries habitent deux compères : Goulu et Glouton. Ils se sont creusé un repaire au fond de deux dents voisines. Ils sont tellement gourmands qu'ils entassent dans leurs armoires d'énormes provisions de sucreries. Si on les laissait faire, ils s'attaqueraient à toutes les dents de la Rue des Caries pour en faire des garde-manger... Mais, bien sûr, on ne va pas les laisser faire ! ...
"Ne mange pas si vite !" Combien de fois les parents doivent-ils répéter ce conseil à leurs enfants - sans grand succès... Anna Russelmann préfère leur raconter la vie des enzybars qui travaillent au fond de la Gare de l'Estomac. En les voyant peiner sous le poids de gros morceaux qu'engloutit Julie, chacun comprendra que la vie de ces petits cheminots du ventre serait bien plus belle si l'on mâchait davantage...